Arrivé depuis la mi-octobre 1993 pour prendre la succession de l'abbé Hug en tant que curé de la paroisse de Wintzenheim, l'abbé François Menny a été officiellement installé dans sa charge le 24 octobre.
Au cours de la cérémonie célébrée en l'église Saint-Laurent et présidée par l'abbé Paul Schaeffer, vicaire épiscopal, l'abbé Menny a également eu la grande joie de se voir confier l'ensemble du doyenné du canton de Wintzenheim en étant nommé curé-doyen.
François Menny est originaire de Buhl et a vu le jour à Guebwiller le 4 avril 1940. Il fait ses études au collège épiscopal de Zillisheim, où il participe au lancement du mouvement des Cœurs Vaillants et obtient son 1er Bac. De 1957 à 1958, il poursuit ses études au séminaire de Saint Thomas (Strasbourg-Robertsau), participe au lancement du scoutisme à Buhl, sa ville d'origine, et obtient son bac de philosophie. De 1958 à 1961, il continue ses études au grand séminaire et à la faculté de théologie catholique, anime les Cœurs Vaillants à Saint-Aloyse Neudorf et au collège Saint-Étienne, et obtient le diplôme du 1er cycle.
A l'issue de son service militaire effectué à Bremgarten (FFA) et à La Reghaia (Algérie), François Menny reprend en 1963 ses études au grand séminaire et à la faculté de théologie catholique. Jusqu'en 1966, il anime des scouts myopathes et polios au Polygone et obtient la licence de théologie catholique.
François Menny dans la chapelle Saint-Alexis à Kaysersberg
C'est en 1966 en la cathédrale de Strasbourg qu'il est ordonné prêtre par Mgr Jean-Julien Weber, archevêque. La même année, il est nommé vicaire à Kaysersberg, où parmi ses actions il a notamment lancé le scoutisme, le guidisme, et mis en place des équipes MRJC et de catéchistes laïcs.
En 1970, il est nommé au sein d'une équipe de prêtres à Neuf-Brisach, assurant la responsabilité de la paroisse de Vogelgrun et de Volgelsheim. De 1970 à 1973, il est aussi aumônier du district scout de Colmar.
En 1973, il est nommé vicaire à Volgelsheim et à Vogelgrun où il prend une part active à la construction d'une nouvelle église et d'un centre de rencontres.
Dans les années 1977 à 1993, il s'occupe entre autres des aumôneries de lycées techniques à Strasbourg, est aumônier diocésain de la Jeunesse Étudiante Chrétienne, et préside l'association des aumôneries de lycées.
Source : Sven Bachert, L'Alsace du 29 octobre et les DNA du 3 novembre 1993
Après un court intérim assuré par l'abbé Gilbert Schoen, curé d'Eguisheim, le nouveau curé de la paroisse Saint-Laurent, l'abbé François Menny, a été installé dans ses fonctions au cours d'une célébration eucharistique présidée par l'abbé Paul Schaeffer, vicaire épiscopal, entouré des prêtres du doyenné, du chanoine Cocaux qui fut le professeur de François Menny, d'un prêtre roumain de l'église orthodoxe, ainsi que d'anciens collègues de François Menny. Une foule impressionnante de quelques 700 personnes a tenu à être aux côtés de l'abbé François Menny pour ce grand jour.
L'installation du nouveau curé de Wintzenheim a rassemblé bien du monde et notamment de paroisses telles que Neuf-Brisach, Volgelsheim, Vogelgrun, Kaysersberg où le curé Menny avait oeuvré, témoignage des nombreuses sympathies qu'il y a laissées. Avec la participation de la chorale Ste-Cécile sous la direction d'Etienne Gissinger et de Pierre Sissler à l'orgue, c'est un office magnifique auquel on a assisté dans une ambiance très recueillie et très fraternelle. Dans l'assistance, M. Bernard Hoffmann, maire, entouré d'adjoints et de conseillers municipaux, MM. Jean-Paul Fuchs, député, Pierre Knittel, conseiller général, Marcel Groelly, président du conseil de fabrique...
[...] Après la lecture de la lettre de nomination par le vicaire épiscopal Paul Schaeffer, les ministères de la Parole et de l'Eucharistie furent successivement confiés au nouveau curé François Menny qui utilisa le thème de "l'amour de nos frères qui est d'abord l'accueil et ensuite le partage" dans son homélie qui alla au cœur de tous...
Source : S.B., DNA du 26 octobre 1993
François Menny lors d'une messe à N.D. de l'Assomption à Logelbach
Ce samedi 1er octobre 2005 à 18 h, François Menny, curé-doyen
de Wintzenheim-Munster et curé de Logelbach dira sa
dernière messe dans l'église Notre-Dame de l'Assomption. Nommé curé de cette
paroisse par Mgr Charles-Amarin Brand, le curé Menny a essayé, dans cette
paroisse très diversifiée, d'apporter une présence apaisante.
Sa mission, et celle des laïcs avec qui il eut le bonheur de travailler, ne fut
pas des plus simples. Quartier écartelé entre Turckheim, Ingersheim, Colmar et
bien entendu Wintzenheim, tout est mosaïque. Les écoles : l'école
maternelle et primaire et l'école Mathias Grunenwald, steinerienne, les églises :
l'église évangélique, l'église catholique traditionaliste et l'église
catholique.
Le verre de l'amitié, offert par la municipalité de Wintzenheim, sera servi au
presbytère.
Source : DNA du vendredi 30 semptembre 2005
Ce samedi 1er octobre, la paroisse N.D. de l'Assomption a tenu à fêter le départ de son curé François Menny. Une assistance nombreuse, parmi laquelle enfants, parents et personnes âgées, s'est retrouvée pour fêter comme il convenait le départ de son curé.
Le conseil de fabrique, animé par sa présidente, Andrée
Schaeffer, et le maire et conseiller général Guy Daesslé, membre de droit du
conseil de fabrique, ont tenu à être présents, ainsi que plusieurs adjoints
au maire.
Le curé remercia l'ensemble des services paroissiaux pour la qualité de
leur présence et leur disponibilité : la chorale Saint-Joseph, choristes et
organiste, les animatrices liturgiques et les jeunes lecteurs, les
catéchistes, les servants d'autel, l'équipe de portage du bulletin paroissial,
les personnes qui s'occupent du nettoyage et du fleurissement de l'église.
Mme Schaeffer, au nom de toute la communauté, remercia François Menny pour sa
présence et son action à Logelbach.
La soirée se termina autour du verre de l'amitié offert par la municipalité
de Wintzenheim. Ce fut une belle fête, empreinte de convivialité et d'amitié.
Source : DNA du mercredi 5 et L'Alsace du jeudi 6 octobre 2005
Après douze ans de présence à Wintzenheim, le curé doyen François Menny prend sa retraite, qu'il passera à Kaysersberg, ville de sa première nomination.
Le curé doyen François Menny quittera Wintzenheim ce dimanche 9 octobre. À l'occasion de son départ, une grande fête est organisée en son honneur par la paroisse. Après l'aumônerie des lycées, la Jec et le TECL, François Menny aura passé douze années à Wintzenheim et à Logelbach, deux mandats de curé et quatre mandats de doyen des doyennés de Wintzenheim et de Munster que l'archevêque lui a demandé de jumeler. François Menny prend aussi sa retraite qu'il ira passer à Kaysersberg, commune qui était sa première nomination comme jeune prêtre. Ainsi, comme il le dit si bien « la boucle sera bouclée ». Incontestablement François Menny laissera un grand vide, lui le catalyseur d'énergies, un homme passionnant et passionné qui a su mobiliser les jeunes, responsabiliser les paroissiens, donner un nouvel essor à la vie paroissiale.
Retour sur images
C'est avec la célèbre vision du pharaon d'Égypte racontée à Joseph et l'interprétation qu'il en fit que François Menny a commencé son homélie, il y a douze ans, en arrivant à Wintzenheim, où habitent tant de familles ouvertes à la vie et aux autres, et où il a eu l'impression au départ d'une cité sans âme, presque inhabitée, où seuls, camions et voitures ont droit de cité, crevant l'artère principale d'une blessure sans fin. « Comment s'arrêter ici, comment garer sa voiture, acheter du pain, faire du vélo, aller à pieds à l'école, jouer dans la rue sans se faire « ramasser » comme un vulgaire objet. D'ailleurs, je ne trouvais pas d'enfants dans les rues » dit-il. Mais au fil du temps, il a rencontré des enfants et des rues animées. L'aventure roumaine qu'il a proposée dès le départ sur une question posée au début du temps de l'avent : « Qu'est-ce que tu nous proposes pour préparer Noël ? » Il a proposé des matelas pour un orphelinat en Roumanie, puis d'aider à la construction d'une église à Calinesti. Bien vite, lui parvinrent des échos négatifs : « Mais qu'est-ce qu'il s'imagine, le nouveau curé, il ne nous connaît pas ». Bien vite aussi, d'autres personnes l'encouragèrent à se lancer dans cette action. Et une équipe s'est mise en place. De nombreux « anciens » de Wintzenheim avaient vécu cette situation pendant la guerre. François Menny a toujours constaté la réalité de la générosité de beaucoup de personnes. En arrivant à Wintzenheim, il avait trois priorités : le souci des enfants, l'attention aux jeunes gens. La troisième attention que s'était fixée François Menny était celle des personnes qui souffraient, quel que soit leur âge ou leur statut social. Il y a deux endroits où il se promenait souvent : le premier, les églises et chapelles, nombreuses à Wintzenheim, ainsi que les rues de la ville. Il a du faire l'impasse de nombreux lieux (comme les salles ou terrains de sport, alors qu'il aime beaucoup), mais c'est ainsi. Homme engagé et simple, François Menny devenu au fil des ans un personnage attachant et incontournable, va dorénavant pouvoir vivre sa retraite à Kaysersberg. Nul doute que beaucoup profiteront de leur passage dans la cité natale du Dr Albert Schweitzer, tant au fil de sa carrière exemplaire il a su tisser des liens d'amitié.
Quelques dates
4 avril 1940 : naissance à Guebwiller et résident à Buhl.
1951 – 1957 : études au collège
épiscopal de Zillisheim. Lancement du mouvement des Cœurs Vaillants, premier Bac.
1957 – 1958 : études au séminaire de Saint-Thomas (Strasbourg-Robertsau).
Lancement du scoutisme à Buhl et obtention du Bac de philosophie.
1958 – 1961 : études au grand séminaire et à la faculté de théologie catholique.
Animation des Cœurs Vaillants à Saint-Aloyse Neudorf et au collège Saint-Étienne. Diplôme du 1er cycle.
1961 – 1963 : service militaire à Bremgarten (FFA) et à la Reghaia (Algérie).
1963 – 1966 : études au grand séminaire
et à la faculté de théologie catholique. Animation des scouts myopathes et
polios au Polygone. Licence de théologie catholique.
1966 – 1970 : vicaire à Kaysersberg. Lancement du scoutisme, du guidisme et d'équipes MRJC. Démarrage
d'une équipe de catéchistes laïcs.
1970 – 1973 : nomination au titre d'une
équipe de prêtres à Neuf-Brisach, responsabilité de la paroisse de Vogelgrun
et de Volgelsheim. Aumônier du district scout de Colmar. Stage linguistique à
Lisbonne (Portugal).
1973 – 1977 : nomination à Volgelsheim et à Vogelgrun.
Construction d'une nouvelle église à Vogelgrun et construction d'un centre de
rencontres, d'animations et de loisirs, CRAL à Volgelsheim. Année de formation
permanente à Paris. Animation dans l'ACE et le scoutisme.
1977 – 1993 : aumôneries de lycées techniques à Strasbourg. Année d'études en pédagogie religieuse.
Aumônier diocésain de la Jeunesse Étudiante Chrétienne. Président de
l'association d'aumônerie de lycées : Techniques et Cultures Lycéennes (TECL).
En 1993, nomination de curé de Wintzenheim en
octobre 1993, puis curé-doyen du secteur pastoral de Wintzenheim.
En 1996, nomination de curé de la paroisse Notre Dame de l'Assomption de Logelbach.
En 1998, nomination de curé-doyen du secteur pastoral de Munster-Wintzenheim.
Source : Sven Bachert, L'Alsace du vendredi 7 octobre 2005
Le ministère du curé-doyen François Menny à Wintzenheim s'achève aujourd'hui. Il y était arrivé il y a douze ans, le 24 octobre 1993. Ce matin à 10 h30, il donnera sa messe d'adieu à l'église Saint-Laurent.
Mordant, rieur, généreux, François Menny ne mâche pas ses mots. C'est
dans son caractère. « Je n'ai pas le culte de la personnalité »,
dit-il. Cela lui donne des libertés. Son péché mignon ? Il le confesse
volontiers, c'est l'humour. Un humour tantôt drôle, tantôt grinçant. Dans
son bureau au presbytère catholique du 1 rue du Logelbach, des affiches et des
coupures de presse. L'une d'elle, Humor ist wenn man trotzdem lach
(l'humour c'est quand on rigole malgré tout), résume tout. Difficile de résumer
la carrière de celui qui fut ordonné prêtre en 1966. Et qui sera
officiellement remplacé par Hubert Spitz, 48 ans, originaire de Saverne, le 30
octobre prochain. Entretien avec un jeune retraité de 65 ans.
Comment aviez-vous vécu votre arrivée à Wintzenheim en 1993 ?
Le curé-doyen François Menny : « Au départ, cette ville me donnait
l'impression d'une cité sans âme. Bien sûr, ces premières impressions n'étaient
que géographiques. Mais je ne voyais qu'un couloir, un lieu de passage...
Ensuite, j'ai progressivement changé d'avis. Avec le temps, je me suis rendu
compte qu'il n'y avait pas que des voitures et des camions ici. Il y a aussi une
vie de quartier très intéressante, des traditions, des gens chaleureux. J'ai
appris à l'aimer ».
La fin de votre ministère marque aussi votre départ à la retraite. Vous
n'aviez pas envie de poursuivre ?
« Non, j'avais vraiment besoin d'une coupure. C'était le moment. Je ne
ressens d'ailleurs aucune espèce d'amertume ou de mélancolie. Pour tout vous
dire, je n'ai jamais fonctionné avec ces carburants, ces essences. C'est dans
les gènes : j'ai hérité d'une forme de bienveillance, d'un regard
optimiste sur le monde, et d'un humour qui me vient directement des femmes de ma
famille, ma mère et ma grand-mère, qui en faisaient usage dans les pires
situations ».
« De l'information, de la communication, de la vie »
La grande fête donnée aujourd'hui en votre honneur sera chargée
d'émotion ?
« Je crois que les choses importantes remontent au cœur et à la mémoire
un peu plus tard. Mais l'émotion sera forcément là. J'ai partagé des choses
avec tous ces gens. Des deuils, des accidents, des événements douloureux. Et
aussi des moments de bonheur. Les grandes fêtes, les baptêmes, les mariages,
la vie associative... Mon discours n'est pas encore tout à fait cuit
(l'entretien remonte à samedi matin). Il ne sera pas long. Ce sera surtout une
action de grâce, des remerciements. Le culte de la personnalité, c'est pas
trop mon truc ».
Qu'est ce qui vous rend fier ?
« D'abord d'avoir pu assurer mes services liturgiques. C'est quand même
pour ça qu'on m'emploie (il rit). Et d'avoir pu faire des célébrations et des
homélies très différentes pour Notre Dame , Saint-Laurent et Sainte-Odile.
Ensuite, il y a l'attention aux enfants, c'était l'une de mes priorités en
arrivant. Et on a fait beaucoup de choses. De l'amitié est née que ce soit
avec les enfants roumains, ceux du scoutisme, les crèches vivantes à Noël... ».
Le téléphone sonne. C'est un médecin du Parc qui veut lui amener des
brochures sur le dépistage du cancer. « Passe tout de suite », répond
François Menny. « Dans l'église, il peut aussi y avoir de l'information,
de la communication, de la vie. C'est pas toujours emmerdant, moralisant.
Parfois, on a le droit de changer. Mais bon, c'est pas demain qu'on aura un TGV
dans l'église catholique »
« Optimiste de nature »
Vous êtes originaire de Buhl. Pourquoi vous installez-vous à Kaysersberg ?
Pour son maire ?
« C'est un ami. Je l'ai même eu comme scout à une époque. Sinon, c'est
là-bas que j'avais passé mes premières années de ministère. Je vais y
retrouver des jeunes qui ont pris de la graine... Là-bas, je vais aller à la pêche,
au golf, marcher, écrire (je suis un ancien pigiste des DNA), voir des expos,
des concerts. Et je vais continuer de discuter avec les gens ».
Vous êtes optimiste pour l'église catholique ?
« Je suis optimiste de nature. Je pense que l'avenir est dans l'œcuménisme.
Nos enfants seront confrontés à l'école à une pluralité de discours, de
religion. Il faut les préparer à ces rencontres. L'autre piste à explorer
dans notre vieille Europe : C'est le vieillissement du clergé catholique.
La question se pose. Ne faut-il pas un autre type de prêtre ? Je n'ose pas
dire quelqu'une, ce serait aller trop loin ».
Source : Philippe Vigneron, DNA du dimanche 9 octobre 2005
L'église Saint-Laurent de Wintzenheim était trop petite pour accueillir la foule impressionnante de fidèles qui a assisté à la dernière messe du curé-doyen François Menny.
Tous sont venus, de près ou de loin, pour témoigner leur sympathie et leur
estime à cet homme qui a placé l'église au milieu des gens. Une délégation
de la cité roumaine de Calinesti, où François Menny a oeuvré pour la
construction d'une église, a même fait le déplacement et était présente ce
dimanche.
Incontestablement, ce personnage attachant laissera un grand vide dans la
paroisse Saint-Laurent de Wintzenheim où il a su mobiliser les jeunes,
responsabiliser les paroissiens, donner un nouvel essor à la vie paroissiale.
Nombreux prêtres
Ce dimanche, les paroissiens ont tenu à fêter le départ de son curé au
cours d'une grand-messe exceptionnelle concélébrée par François Menny,
entouré de nombreux prêtres des doyennés de Wintzenheim et de Munster
notamment, et embellie de musique et de chants, une célébration comme il les
aime !
Le conseil de fabrique, présidé par Christiane Majer et la municipalité,
conduite par le maire et conseiller général Guy Daesslé, ont rendu un vibrant
hommage à François Menny, homme engagé et simple avec des qualités humaines
et spirituelles qu'il a su mettre au service de la communauté chrétienne.
A son arrivée dans la cité, il y a 12 ans, il avait souhaité s'entourer des
enfants, qui l'ont suivi avec enthousiasme et qui hier, lui ont remis un téléphone
portable pour garder le lien.
Dans son homélie, François Menny a invité l'assistance à reporter leur
confiance sur son successeur et à vivre la parole du Seigneur dans la vie de
chaque jour : «Gardez courage et retenez que ce qui est important, c'est
la foi ».
Retraite à Kaysersberg
Il remercia chaleureusement l'ensemble des services paroissiaux pour la
qualité de leur présence et leur disponibilité tout au long de son ministère.
Le curé Menny, très ému par toutes les marques de sympathie et les cadeaux,
fut longuement applaudi.
Sous la halle des fêtes, quelque 650 convives ont partagé le repas dans une
ambiance de fête, teintée d'émotion non dissimulée.
François Menny passera sa retraite à Kaysersberg, commune qui était sa première
nomination comme jeune prêtre. Ainsi, comme il le dit si bien : « la
boucle est bouclée ».
Source : DNA du lundi 10 et L'Alsace du mardi 11 octobre 2005
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